Journal de Bord 09/11/1840 [Niveau 10]

Je
me nomme Eric Morganson, Dr. Morganson, j'opère à thieves landing comme
médecin soignant/physicien dans ma clinique, j'ai travailler fort pour
décrocher ce boulot, thieves landings n'est pas le meilleur endroit pour
un honnête homme comme moi, mais j'ai souvent des patients et puis
j'aime bien ma clinique, aujourd'hui un indien justement est venu me
voir de Tall trees, pour une morsure de loup. Là je suis allez me payer
un petit voyage à Tall trees justement, j'ai acheté un chalet à Tanner
Span's, je croyais avoir fait une aubaine en achetant, pas louer, mais
acheté ce chalet à 58 $

Mais j'ai vite compris pourquoi il voulait ce débarassé de cet endroit...

Journal de Bord10/11/1895 [Niveau 12]

Récemment
un adjoint s'est pointé à thieve's landing, et cela n'a pas plus à tout
le monde, le pauvre il cherchait son fils, il s'est fait tirer dessus
puis je l'ai pris par le bras et je l'ai trainé dans ma clinique j'ai
essayé de stopper l'hémoragie, il était mal amoché, puis un homme est
arrivé en criant qu'il avait mal à l'abdomen, je le fit rentrer dans ma
clinique, il avait un balle lôgé dans l'abdomen, j'essayais également de
stopper l'hémoragie en même je tirais sur les hors-la loi qui essayais
de rentrer dans ma clinique, puis je fit sortir l'homme de ma clinique
et pris l'adjoint sur mon épaule, je l'ai mit dans mon chariot, et
l'homme retenait les habitants, mais donc coup il s'est écroulé sur le
sol, je levais sa chemise et remarquais le grosse enflure bleuté sur son
abdomen, hémoragie interne, il avait un journal sur lui, alors je le
prit et je parti avec le chariot à toute vitesse vers MacFarlane's
Ranch, mais je perdit le contrôle et alla m'écraser sur une maison à la
sortie de thieve's landing.

Je me ressaisit et donc coup j'entend
quelqu'un se plaindre comme si il était ligoté et badigoner, je fit le
tour de la maison et vit un soldat ligoté par terre, je l'ai libéré, il
ma demandé comment je pouvais le remercier, je lui est dit de conduire à
MacFarlane's Ranch moi je devais aller derrière pour stabilisé
l'adjoint, il perdais beaucoup de ssang et commençais à voir des
absences, puis en dernier l'adjoint fit un regard terrible en
contractant tout ses muscles, puis il relacha tout et remplaça son
regard par un regard vide, je prit ses signes vitaux, mais il était
mort, une haine incroyable me surmonta, je pris la plaque sur son veston
et l'arracha, je l'ai mise dans ma main et je l'est regardé et une idée
m'est venu, je pris des vêtements sous le banc puis je le ai est mis et
j'ai posé l'insigne sur mon veston, et pris le chapeau blan de
l'adjoint.

Arrivé à MacFarlane's Ranch, le soldat me dit où le
médecin, je lui répondu c'est moi l'adjoint est mort, puis il me
remercia de l'avoir délivrer, il mentionna son nom, Harry MacDougal,
cela m'a rappelé le journal que j'ai trouver par terre, il était inscrit
dessus ce nom, alors je lui dit vous reconnaisez ce livre? Il me dit
oui c'Est mon journal de bord, faites voir! où l'avez vous trouvé? je
lui dit sur un homme qui est décédé à thieves landing durant une
fusillade. Puis il partit pour allez se reposez, et là je vais faire de
même.

Journal de Bord10/11/1895 [Niveau 14]

J'ai
décidé d'écrire un peu pendant que j'attend MacDougal à Plainview,
j'étais passer prendre de l'or à gaptooth breach, quand je l'ai croisé,
puis on a mit l'or dans mon chariot, et je devais aller vers thieve's
landing comme il avait à faire à Plainview, je les déposer et la je
l'attend pour repartir, justement il reviens alors je vais monter à
l'arrière , il nous conduira à Thieve's Landing, j'ai retiré l'insigne,
sur lequel il est écrit ''Adjoint'' je suis en train de gribouiller
cette écriture, on voit presque plus.

Journal de Bord10/11/1895 [Niveau 14]

Nous
sommes arrivé à Thieve's Landing, j'ai repris mon cabinet, mais comme
je n'ai plus envie de pratiquer la médecine, MacDougal qui a étudié en
médecine, s'occupera des malades et des blessés, moi j'ai une autre
vocation, j'ai justement poli l'insigne que j'ai trouvé, on y voyait
plus le titre d'adjoint, elle était juste vide, alors j'ai gribouillé
ceci: Pacificateur, puis j'ai poli pour lui donner un finit lustré et
droit, alors j'ai décidé que je ferai respecter la loi à Thieve's
Landing, je suis le pacificateur et je vais faire régner la justice dans
cette ville que je vais renommer Pacific's Landing, certain dirons que
je suis dingue et ils ont peut-être raison, qui sais je pourrais
peut-être me prendre une balle dès le premier jour, peut-être que ce
n'est pas très légal ce que je fait, mais au moi je sais que c'est bien,
et je suis le fils du bien et je ferai régner le bien!

Journal de Bord 12/12/1895 [Niveau 15]

J'ai
réussi à faire de Pacific Landing, un endroit calme et paisible, enfin
presque, mais le taux de criminilaté à diminuer presque autant que les
autres villes, cette ville va devenir grande, Harry en avait marre de la
médecine, enfaite il a jamais aimé qu'il dit tout ce qui l'intéressait
c'était des faire des recherches sur les indiens à cette époque,
maintenant il voulait aider comme moi, alors il est devenu pacificateur
comme moi, plus tard on lui à forger un insigne comme le mien, alors que
la bande des bollard perdait du terrain et beaucoup d'hommes depuis
nôtre arrivé, la bande des waltons est venu en profiter pour prendre
contrôle de Pacific's Landings, mais ont les en à empêcher, tout un tas
de gens honnête sont venus s'installé à Pacific's Landing, la tension
est toujours un peu palpable là-bas, mais nous y sommes beaucoup plus en
sécurité, des activités économiques avec le port ont recommencé, la
ville connais une révolution tranquille! (Viva la révòlution!) et une
économie prospère.

Cependant ont a dû rencontrer des types à
Blackwater en costard cravate, pour de un se faire féliciter pour nos
exploits, mais on c'est fait aussi engueuler et insultés, soit disant
que nous sommes deux guignoles, qui n'y connaissent rien dans le métier,
que nos insigne était ridicule et qui n'avait rien de légal là-dedans,
j'ai insisté pour obtenir un réel titre de représentant de la loi, mais
avant on devais ce cultivé, et apprendre le métier, alors nous sommes
rentrer dans le camp millitaire pour recrues, et après des cours
intensifs sur le codes de loi et de conduite, nous sommes partis en
mission au mexique. comme MacDougal était déjà haut gradé, il ma été
flanquer comme supérieur alors dû coup on est que nous deux.

Journal de Bord 02/12/1898 [Niveau 15]

À
mon retour de vancances, je suis rentrer à Pacific's landing pour
découvrir qu'il ressemblait beaucoup à thieves's landing et que Harry
MacDougal était absent, j'ai fait un peu le ménage et j'ai rêgler
quelques trucs, puis Harry est revenu, pour récupérer des effets
personnels je lui est demandé il allais où comme ça et il me dit qu'il
en savait rien et que cet endroit était retombé aux mains de bandits
d'autrefois, mais je lui est expliqué que j'ai en quelques sorte arrangé
les choses, alors il reprit son pistolet et nous sommes allé mettre un
terme à la rebellion, tout est rentrer dans l'ordre, puis quelles que
jour plus tard, les choses ont vraiment tournée en vinaigre, les
habitants sont devenus fous, et ont brûlé nôtre bureau et nous ont
attaqués, voyant qu'on arrivais pas à les contenir, nous vant fuit la
ville, laissons derrière nous une ville en sang et en feu, comme quand
je suis arrivé la première fois, un autre douleureux échec dans ma vie,
malgré tout le commissaire nous a muté à Benedict point, où nous
veillerons à la prtection de Plainview puisque les troupes armées sont
ocuupé avec la guerre sur le continent de l'Afrique.

Journal de Bord 21/10/1902 [Niveau 12]

Je
viens de réalisé, que je viens de perdre au moins 12 pages de mon
carnet de journal de bords, quand ma charrette c'est viré sur le côté en
prenant un virage trop serré, j'ai perdu quelques fournitures, mais je
viens de réaliser avoir perdu des pages de mon cahier. Alors je vais pas
réécrire chaque notes. Mais j'ai donc été Marshal indépendant pendant
plusieurs années, rien de majeur à part ça, je n'ai toujours pas trouvé
de femme. J'ai intégrer l'armée cela fait maintenant 3 ans. Voilà ce qui
résume

Journal de Bord 23/11/1906 [Niveau 12]

Arrivé à Armadillo, je passais les portes battantes du saloon. Les gens étaient occupés à trinquer, whisky à la main et coude sur le comptoir. Il y avait des membres de la bande des waltons à une table qui me regardait de travers. Il n'ont pas l'habitude des uniformes soignés des militaire. L'un deux m'interpela et ma demande quel genre de clown es-ce que je se suis. Je lui mentionne que j'ai assez de sang sur les mains aujourd'hui et qu'on n'allait devoir faire ça simple. Un combat singulier à mains nues, le perdant doit partir du saloon. Il se leva d'un bond et à sa démarche, j'ai vu qu'il était bourré. Une droite et c'était finit, mais il se releva et il sortit son revolver péniblement, je lui assena un coup de pied sur la jambe et le désarmant ensuite aisément. Sa bande semblais apprécier le spectacle pathétique, qui moi m'ennuyait profondément. Aucun d'eux ne se sont lever pour supporter leur ami. Il a continué a vouloir me rué de coups, j'ai sortit mon schofield et en le pointant vers lui je lui ai dit de foutre le camp avant que mon doigt glisse sur la gachette. Le marshal Leigh est arrivé, sans poser de question il a tirer une balle dans sa tête, puis s'est retourné vers les 2 autres, pour en tuer un, mais l'autre étais sur le point d'abattre le Marshal, alors j'ai tiré sur le dernier. Comme d'habitude tout le monde s'est mis a crier. Moi ennuyé j'allais dans la chambre que j'avais loué, déposa mes armes sur la table. Puis je suis allé au lit me reposer, Je me fait sans cesse réveiller à cause des bruits environnements, il y a toujours quelqu'un qui vient pisser sur le mur extérieur du saloon, me réveillant à tout coup. Croyant qu'il a de l'eau qui me coule dessus. Sinon il y a toujours les gens à l'extérieur qui parle fort.

C'est l'aube maintenant, je monte en selle et je vais à la frontière. Je dois aller au Mexique. Pour tenter de retrouver un mercenaire de l'armée américaine, le Capitaine Ashfold. L'armée n'a plus de nouvelles de lui et il m'envoie le chercher, je devrais commencer à investigué à ''Chuparosa''.

Journal de Bord 24/11/1906 [Niveau 12]

Dégueulasse! Vraiment dégueulasse...Merde! Ce voyage commence vraiment bien déjà j'ai eu des problèmes et je n'étais même pas encore partis de Armadillo. Bon il y a un homme, je peut pas lui en vouloir si il s'est blessé et c'est quand même moi qui lui a proposé de l'aider, mais j'ai donc perdu un temps considérable. Étant en retard, je ne prit pas le temps de manger. Alors je suis aller chercher le chariot qui j'avais acheté pour 97$. Donc le chariot est derrière l'entrepôt, donc je met ma carabine winchester et mon fusil à pompe à l'arrière, ainsi que des provisions et de l’équipement. Je monte à l'avant du chariot et je décolle, à peine quelques mètres et un balle siffle à 10 cm de ma tête, je donne un coup sur les rennes et je tourne la tête vers l'arrière pour voir un homme qui tire dans ma direction en tirant et en criant des choses incompréhensibles. J'ai continué sans me retourner.

Un peu plus loin, 3 hommes me poursuivi à cheval, un d'entre eux tirant en l'air. Ils me demandais de m'arrêter et ce ''Au nom de la loi''. Donc je m'arrêta, quand les hommes du shérif sont arrivés à ma hauteur, je leur fit un sourire et eux ils fient un air perplexe. Finalement un d'entre eux me demanda ce que je faisais avec ce chariot volé. Je lui expliqua que je l'avais acheté à tel personne à Armadillo. Il m'expliqua que cette homme dit que je lui ai volé. De retour à Armadillo...tout ça pour faire avoué à l'homme en question qu'il avait tout inventé pour faire de l'argent.

Je repart, vers Plainview pour avoir mon dernier contact avec un supérieur de l'armée pour confirmer mon départ vers le Mexique et récupérer les fiches et renseignements sur le mercenaire. Avant d'avoir pu arriver à Plainview, on a tiré sur mon chariot à plusieurs reprises. Les coups de feux venait de Fort Mercer, j'ai été forcé de m'arrêter et me servir de mon chariot pour éviter les balles. Dégueulasse...j'ai éliminé quelques ennemis sur les remparts pour me permettre de repartir, mais alors que je me m’apprêtais à repartir. Deux hommes se sont approchés sur le rempart, tenant une femme ligoté. Dégueulasse... Ils croyaient que je venais pour elle, alors qu'en réalité personne ne m'a fait d'invitation. Alors ils m'ont mit au défi de venir la chercher. Je me suis donc senti obligé d'aller l'aider, j'ai prit un bâton de dynamite et je l'ai lancer sur le murer droit pour faire une diversion et changer de couverture. Je finit par atteindre les portes du fort. Adosser au mur qui donne sur la cour, j'échange des coups de feu avec eux en faisant le plus attention. Après quelques minutes j'ai pu me faufiler vers le haut du fort. Encore là plusieurs échanges de coups de feu, j'ai été forcé d'utiliser ma carabine pour la quelle je ne suis pas très habitué à manier, en majorité du temps je me sers de mon fusil à pompe, mais je l'avais oublié dans le chariot. Je n'ai pas arrêter de blasphémé, ce fut un combat de plusieurs heures a rester pratiquement au même endroit à gaspiller des balles en espérant en effleurer au moins un, à transpirer comme un porc, seul...dégueulasse. Je finit par accéder à la cour, les cheveux trempés de sueur, mon uniforme imbibé de sang et collé par la chaleur sur ma peau.

Ne faisant aucunement attention j'ouvre les porte de la cour revolver à la main, je marche et j’abats chaque ennemi d'un tire à la tête et ce de gauche à droite, ils tombèrent tous un par un comme des dominos. Un groupes de 4 malfrats sont sortis de la baraque, je tua les 3 premiers qui n'ont même pas eu le temps de contempler la lumière du soleil, le dernier tenait la fille en otage. Je leva mon revolver vers lui, avec mon regard des plus sérieux. Ils devaient avoir au moins 26 ou 27 ans, il portait un long manteau beige et abordait des longs cheveux marrons. Un visage pale percer pas de petits yeux foncés. Il transpirait beaucoup et semblait très nerveux et pas très sur de lui. Je lui demanda alors de la relâcher et qu'il n'y avait aucune bonne issue à tout ça. Finalement il recula tranquillement derrière l'otage toujours en visant sa tête. Je l'encourage à reculer et je lui dit que c'est bien. Puis d'un geste désespéré il tira dans la tête de la fille. Je l’abattis lui immédiatement. Dégueulasse!! Elle était morte...j'ai compris après qu'il ne restait plus qu'un balle dans le revolver du malfrat. Se doutant qu'il allait mourir et il a préféré me mettre en colère, en utilisant sa dernière balle pour tuer ce pourquoi j'avais tout fait ça. Dégueulasse! Arrivé à Plainview... le supérieur n'était pas là. J'ai donc dû laissé une note et prendre un ensemble neuf et trouver les documents. J'ai traversé la frontière. Un groupe de voyageurs bloquais le pont, à cause d'un roue brisé. Dégueulasse... je suis alors descendu de mon chariot et je suis allez vers eux pour leur offrir mon n'aide, mais quand ils m'ont vu ils ont criez «Américanos!!» et ils sont partis en courant laissant leur chariot stupide qui bloque le pont. J'ai dû poussé ce chariot durant 30 minutes et finalement passer.

Je suis arrivé à ce ''Chuparosa'' qui était donc une ville. Je laisse mon chariot et je vais à la taverne ou la ''cantina''. Je montre la photo aux consommateurs. Personne ne le reconnait et tout le monde me fuient du regard et semble me craindre. Je n'insiste pas d'avantage et je vais voir directement les autorités locales. Je rentre alors le bâtiment correspondant et je vois un des lawmen, je m'approche de lui et l'interpelle, je sors la photo et les renseignements; et je me prépare à lui serrer la main, mais avant même d'avoir regarder la photo il sort son arme et crie lui aussi «Américanos!!» et tire dans ma direction, mais me manque totalement, je n'ai pas le temps de pouvoir répondre avec mon arme alors je le plaque au sol et le frappe au visage deux fois. Je me relève et un autre homme était rentrer dans la pièce et en me voyant il s'est mit à crier des choses incompréhensibles et à tirer plusieurs cours de feux vers moi. J'ai foncé vers lui et je l'ai plaqué contre le mur pour le désarmer. J'ai reprit mon chariot et je suis partit de cette ville au plus vite. Journée vraiment dégueulasse je suis crevé.

Je me suis trouvé un petit endroit isolé, où j'ai rassembler quelques cailloux, des branches et du bois pour faire un feu. J'y installais un petit lit de camp au sol et déballa quelques boîtes. Donc je suis dans ce lieux dégueulasse qui est le Mexique, sur un lit dégueulasse à manger des trucs dégueulasses, sous une chaleur dégueulasse avec une mission dégueulassement impossible et une nuit dégueulasse à passer, bref rien ne pourrait être plus dégueulasse.